Le tennis, Federer, Nadal, Sampras, Agassi et les autres...

Arkadin · 25/09/11/18/49/48

Ce matin à 11h, dans le parc du Château de la Princesse, coup d'envoi de la Course des Terrils à Raismes, près de Valenciennes.
Habituellement à cette époque de l'année je fais le semi de Lambersart, mais après la pagaille de l'année dernière et les échos plus que flatteurs qui m'étaient parvenu sur cette course atypique j'avais décidé d'aller y jeter un oeil.
Bien que Raismes soit le fief de notre ChtiGrincheux national, il n'était pas présent cette année puisqu'il avait décidé de s'attaquer aux 100km de Millau ( qu'il a finalement couverts en un peu plus de 15h30). Chti Vincent étant d'astreinte à son boulot, et sans nouvelles de Vivien, il ne restait plus de la fine équipe que Baboune et votre serviteur.
Plusieurs courses s'élancent ce jour: un 8km, un 14km et un 3km pour les familles et un 700m et un 1.2 km pour les chtites n'enfants, mais j'avais décidé de m'attaquer aux 23 km de La Sauvage! (ça c 'est du nom!).
Cependant, vu l'état de forme de mon genou ces derniers temps j'avais pris la décision d'y aller mollo, ce qui convenait parfaitement à Baboune, guère en forme non plus ces derniers temps.
Après moins d 'un kilomètre on attaque déjà le premier terril. J'ai beau être natif du Nord, je n'avais jamais escaladé ces petites montagnes... et bien c 'est raide! à tel point qu'on est obligé de finir l'ascension en s'aidant des mains. Heureusement la fanfare au bas de la côte nous encourage. D'ailleurs nous en trouverons une au pied de chaque difficulté.
Quelques kilomètres plus loin, rebelotte, mais si la montée est cette fois plus longue elle est aussi plus douce, ce qui n 'est pas le cas de la 3è, située vers le 12è km: un véritable mur! Ce qui n'empêche apparemment pas certains de venir cramer des carcasses de voiture à son sommet, il doit y avoir un accès plus facile sur un autre versant.
Une fois en haut des terrils on dispose d'un point de vue imprenable sur la région, très boisée. Rien que pour ça ça vaut le coup. Le paysage immédiat est plus déroutant, presque lunaire, malgré les quelques arbres qui parviennent tout de même à pousser sur ces tas de scories charbonnières.
Mais pas le temps de s'attarder à admirer le paysage, car qui dit montée dit forcément descente, et il faut être prudent si on ne vaut pas se fouler une cheville ou se casser le cou.
Entre le 3è terril et la dernière grimpette il y a un peu plus de 10 km de voies forestières. Vu le soleil que l'on a aujourd'hui on apprécie la fraîcheur du couvert des arbres.
Les ravitaillements abondants et animés par des bénévoles très sympathiques brisent la monotonie des longues lignes droites tracées par les drèves. L'ambiance de course est très conviviale, on trouve à discuter et à raconter des bêtises avec plein de monde.
Enfin se profile à l'horizon ( enfin, pas vraiment, avec les arbres on ne voit pas très loin devant soit) la dernière difficulté du jour, un raidillon si pentu que les organisateurs l'ont équipé de cordes afin d'aider à son ascension. Pas très long, mais très dur.
Il ne reste ensuite qu'un peu plus de 2 km à travers la très jolie base de loisirs pour rallier le château où est jugée l'arrivée.
2h30 pour faire 23 km. C 'est vrai qu'on y est allés mollo, mais par exemple le premier a mis 1h49.
Nous récupérons nos lots et là c 'est la déception: pas de bière!
Qu'à cela ne tienne, nous nous dirigeons derechef vers la buvette afin d'étancher notre soif.
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"Ne remets pas à demain ce que tu peux faire après-demain." Alphonse Allais http://arkadin-arkablog.blogspot.com/

decoturf · 27/09/11/09/35/05

Arkadin · 27/09/11/13/59/33

A 2h03 je ne suis même pas au 25è km sur un marathon Wink

C 'est dur pour Grebré, mais les retours après une semi retraite c 'est rarement gagnant.

Kiplagat a remporté le semi de la braderie de Lille l'année dernière, mine de rien ça attire des stars cette course Cool

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Arkadin · 09/10/11/13/54/06

Arka's back in the race!
Ce matin, sous un léger crachin, le semi de Marchiennes.
J'avais courru cette course il y a deux ans lors de ma première saison mais n'avais pas pu renouveler l'expérience l'année dernière puisqu' elle avait lieu en même temps que le marathon de Dunkerque.
Cette année elle servira de test après une période de convalescence due à un genou récalcitrant.
Le semi de Marcq avait été encourageant mais j'avais été somme toute plutôt prudent, sur la course des Terrils j'y étais allé encore plus mollo, cette fois on verra vraiment où j'en suis.
Pour la première fois je faisais du covoiturage, puisque j'emmenais Laurent, un de mes compagnons d'entraînement, qui prépare le marathon du Havre (c 'est fou le monde qu'on rencontre en courant!).
Levé à 7h, petit dej', un coup d'oeil par la fenêtre me confirme que la pluie sera de la partie, mais tant pis, dans la région si on ne court pas dès qu'il pleut on ne court pas souvent!
Je récupère Laurent à 8h, et direction Marchiennes.
Arrivé sur place nous tournons en rond quelques minutes avant de trouver un endroit où se garer. Le site de la course ne mentait pas en annonçant qu'il y avait cette année deux fois plus de participants que l'année dernière!
Un rapide passage à l'inscription ( on peut s'inscrire jusqu'à 15mn avant le départ, moyennant une majoration tout de même), retour à la tuture, puis direction la ligne de départ.
Laurent a un programme très précis à respecter et compte finir en 1h45, pour ma part j'attends de voir comment je me sentirai après quelques kilomètres.
Mon genou se manifeste toujours, mais ce n 'est pas vraiment gênant, on verra bien, quoi!
Un coup de feu donne le signal et je perd rapidement Laurent de vue en me faufilant dans la foule très compacte des concurrents.
Je manque la marque du premier kilomètre, mais au 2è je suis en moins de 9mn, bonne allure, peut être un peu rapide, on verra ça plus tard.
Les bornes semblent parfois êtres positionnées de façon aléatoire: je me surprends en effet à réaliser un des premiers kilomètres en 3mn 30, ce qui est proprement impossible pour moi.
Qu'importe, je passe aux 10 km en un peu plus de 46 mn. Le véritable test pour juger de mon allure est l'heure de course. Si j'ai passé la marque des 13 km c 'est que je suis bien.
Je passe aux 13 km en 59mn52. Ca a l'air plutôt bien parti.
Je pense alors me relâcher un peu pendant quelques kilomètres, histoire de garder des forces dans le final, je me rappelle avoir pas mal souffert deux ans plus tôt dans les derniers kilomètres, mais je me sens tellement bien, malgré mon genou qui semble se réveiller et les ischios droits qui se manifestent à leur tour que finalement je maintiens mon allure.
La pluie semble me convenir, bien mieux que la chaleur en tout cas.
Si je parviens à garder un rythme de moins de 5mn au kilomètre je peux finir en moins d'1h40.
Je serre les dents, raccourcis les foulées et accélère la cadence. J'ai un peu l'air de courir assis mais finalement ça marche plutôt pas mal. Il n'y a que dans le dernier kilomètre où j'accuse un peu le coup mais je finis tout de même en 1h38'45", soit mon troisième meilleur temps. Cela faisait pratiquement deux ans que je n'avais pas été à pareille fête sur cette distance!
Je reste sur la ligne d'arrivée pour attendre Laurent qui en finit en un peu plus d'1h40, il n'a pas été très raisonnable lui non plus!
On se sèche rapidement avec la serviette offerte à l'arrivée (bonne idée!) puis retour à la tuture avant de rallier le bar le plus proche afin d'arroser convenablement nos performances respectives (enfin, surtout la mienne!).
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blek · 10/10/11/18/51/40

Bien joué!! Par contre le genou t'emmerde toujours... j'ai un peu le même souci au tennis, d'ailleurs, pas trop gênant en soi, mais hier après le match, il avait bien gonflé... Faut dire que je suis tombé d'une échelle, ce qui ne lui a pas fait de bien... En tout cas bravo pour ta performance!

Arkadin · 10/10/11/19/48/13

Merci

Mon genou 'enfle pas, c 'est déjà ça, mais les impacts sont douloureux à la longue. Je dois revoir le rhumato/podologue vendredi, si ça ne va pas mieux il va peut être me faire des infiltrations, je ne suis pas spécialement emballé à cette perspective mais bon, faut ce qu'il faut... Confused

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blek · 10/10/11/21/10/58

Ah donc c'est différent de moi, mon genou enfle, mais c'est suite au choc, mais surtout les deux sont douloureux après match... mais pas trop à l'impact, c'est juste qu'il ne faut pas espérer faire une flexion accroupi par exemple. Ca m'est tout bonnement devenu impossible.

Arkadin · 16/10/11/16/25/35

Je suis retourné voir le rhumato/ podologue qui n'a toujours rien trouvé de spécial, il m'a tout de même renouvelé mon ordonnance d'anti-inflammatoires au cas où j'en aurais besoin avant les courses à venir. Sinon il m'a proposé de faire des infiltrations, mais tant que je ne suis pas contraint d'abandonner une nouvelle fois je préfère éviter les piqures dans le genou.

Ce matin, pour changer des années précédentes où j'étais allé courir les Boucles Tourquennoises, je me suis pointé à Emmerin, petite commune des Weppes à moins de 10 km de Lille, pour un petit 15 km en compagnie de Chti Vincent, qui avait su m'appâter en me promettant un apéro post-course! sante

Un parcours bien flèché et très sympa, empruntant quelques routes du marathon de la Route Du Louvre, des passages dans les bois, un temps superbe, ensoleillé et frais, idéal pour la course quoi. Le seul problème aura été le fait qu'une sortie à vélo était organisée en même temps et pratiquement sur le même parcours que la course à pied, ce qui a quelque peu encombré la route par moments.
Comme j'ai l'intention de faire un trail de 30 bornes la semaine prochaine je n'avais pas envie de trop forcer, j'ai accompagné Vincent pendant tout le parcours, ce qui nous a tout de même amené à 1h14 mn 15 sec pour environ 15.3 km, une moyenne honnête d'un peu plus de 12 km/h, juste de quoi nous mettre en appétit. Wink

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blek · 17/10/11/10/38/43

Ah satané genou, moi là j'ai les deux qui coincent grave... J'ai encore des anti inflammatoires, mais bon, si je peux éviter.... J'ai peur que ça ne s'arrange pas des masses cette histoire, mais c'est pas enflé, si? Moi après le tennis, ça enfle.... Devant, derrière, partout.... Je crois qu'il va surtout falloir que je perde du poids, avant toute chose.

Arkadin · 24/10/11/11/34/18

Quel week end!

Samedi c'était le Trail des Lueurs d'Espoir organisé à Fleurines dans l'Oise au profit d'une association oeuvrant pour égayer les séjours hospitaliers des enfants, principalement ceux atteints de cancers.
Une double première en ce qui me concerne: je n'avais encore jamais couru de trail et je n'avais jamais participé à une course nocturne.
Deux parcours sont proposés: un 16km et un 32 km. Comme je venais d'assez loin je n'allais me contenter de la petite course, j'avais donc décidé de tenter le 32!
Samedi matin, donc, par une matinée fraiche mais radieuse, je me mets en route pour Raismes pour y retrouver Chti Grincheux, bénévole sur cette course, et qui devait donc être sur place assez tôt pour aider à la mise en place.
Les sacs chargés dans la Grincheux-Mobile nous empruntons l'autoroute pour un peu plus de deux heures de trajet sur une allure tranquille, nous prenons même le temps de faire une pause casse-croute.
Arrivés sur place nous retrouvons les organisateurs et les aidons à brancher la sono et à décorer la salle polyvalente.
Le départ n 'est prévu qu'à vingt heures, aussi j'en profite pour visiter le coin. C 'est très mignon, très boisé, assez vallonné, des maisons en pierre, des châteaux...
Entre temps Le Bagnard est arrivé lui aussi dans sa Kikou-Mobile ainsi que d'autres bénévoles de l'association, donc une certaine Linda déguisée en fliquette de charme. Il va y avoir de l'ambiance sur cette course!
Le temps passe, les participants arrivent de plus en plus nombreux.
Juste après le briefing des signaleurs et serre-files, un apéro est offert, juste ce qu'il faut pour se mettre en train avant de se lancer dans la grande aventure. Suit un échauffement en musique puis il est temps de gagner la ligne de départ. Très jolie vision que toutes ces lumières s'élançant à l'assaut de la première difficulté ( qui sera loin d'être la plus difficile).
Après environ un kilomètre, le sommet du Mont St Christophe passé, nous nous engageons dans la forêt d'Halatte. Nous n'en ressortirons que trente bornes plus tard.
Au fur et à mesure que l'on progresse le peloton s'étire, les groupes sont de plus en plus petits, et à mi-course je me retrouve tout seul au milieu des hululements des chouettes.
La première moitié du parcours est assez roulante, la lueur des lampes frontales se réfléchit sur des piquets balisant le parcours si bien qu'on ne risque pas de se perdre. Par contre on n'y voit pas grand chose, et on est souvent surpris par des passages sablonneux, des ornières ou des passages franchement gadouilleux. Après trois kilomètres je ne reconnais plus mes baskets!
Ca grimpe, ça descend, et ainsi de suite. On se prend les pieds dans les ronces, on se paie quelques gamelles (environ une tous les dix kilomètres pour ma part), et bientôt on se met à marcher dans les montées.
Au kilomètre 16.64 nous attend Chti Grincheux pour un ravitaillement officieux à base d'orge et de houblon. Ca fait du bien par où ça passe, surtout que c 'est là que commencent les vraies difficultés. Ils ont gardé le meilleur pour la fin!
Juste après le ravitaillement officiel on nous envoie pour une boucle d'un peu plus de 5 kilomètres à l'assaut du point culminant de la région. Ca grimpe dur! à tel point qu'à un moment, regardant vers le haut, je prend les lueurs des piquets pour des étoiles! (et évidemment je me viande magistralement, heureusement que je ne tombe que sur de la boue ou du sable).
La boucle terminée, il ne reste plus qu'une petite dizaine de kilomètres pour enfin revenir au point de départ, et la descente du Mont St Christophe, sur route et très rapide, achève mes jambes déjà bien malmenées durant la course.
3h45 pour couvrir les 32 kilomètres, pratiquement mon temps sur marathon, mais ce n 'est pas le même relief! (les premiers sont aux alentours de 2h30), 51è sur 93 arrivants, pas mal pour un premier trail.
Une fois la ligne d'arrivée franchie, direction la salle polyvalente où nous attend un buffet froid que j'avale avant d'aller me doucher (je ressemblais un peu à Schwarzy dans la scène finale de Predator avec toute la boue que j'étais mangée!).
La cérémonie protocolaire terminée, nous gagnons l'école communale que le maire nous avait très gentiment ouverte afin que nous puissions dormir un peu avant de rentrer. Mais pas question de sombrer dans les bras de Morphée immédiatement, d'autant que la salle était équipée d'un piano, qu' il nous restait encore quelques bières, et surtout que Chti Grincheux avait amené sa traditionnelle mirabelle alsacienne.
Un concert du Bagnard et une opération de mouche à la lueur d'une frontale plus tard nous nous laissons enfin gagner par le sommeil.
7h00: réveil. Le Chti Grincheux veut être rentré pour la finale de Rugby.
Moins de deux heures et demi plus tard nous sommes bien calés devant la télé, prêts à regarder nos compatriotes se faire laminer par les All Blacks, mais les Bleus s'en sortent finalement avec les honneurs.
On arrose ça avec une petite bière (oui, il m'en restait encore), puis c 'est l'heure de l'apéro, prélude à un couscous impérial mitonné par Fanfan ( à ce niveau là c 'est plus un couscous royal, elle pourrait nourrir un régiment la fanfan!)
Petite sieste digestive, et il est temps pour moi de regagner mes pénates.

Elles commencent vraiment bien ces vacances!
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Arkadin · 07/11/11/22/13/23

Retour aux monts des Flandres hier avec Monts et Merveilles, une course de 11km et des poussières autour de Berthen, au pied du Mont des Cats.
Les organisateurs savent comment attirer du monde, puisque sur le site de la course il est précisé que chaque arrivant aura droit à une bière et à une planchette apéritive!
Un petit détour par Marcq en Baroeul pour récupérer Valérie, une copine de course, et c 'est parti.
Arrivés sur place il est rapidement évident que cette édition jouit d'un franc succès: pas moyen de se garer à proximité du moulin au pied duquel le départ est donné. Je me gare où je peux puis direction la salle des fêtes pour l'inscription. Confirmation de la première impression: la course bat cette année tous ses records d'affluence, nous sommes plus de 450! J'ai aussi la surprise d'y retrouver mon ami d'enfance déjà aperçu lors de la Panoramique du Mont des Cats.
Retour à la tuture pour me changer, puis direction le départ.
A cette occasion nous sommes témoins d'un joyeux cafouillage: personne ne semble savoir dans quel sens on part! Mais tout finit par rentrer dans l'ordre, et passé les bouchons de démarrage je laisse Valérie progresser à son allure et je prends ma vitesse de croisière.
Enfin, façon de parler, le parcours alternant les montées et les descentes il est difficile de garder une allure régulière. A l'approche du premier ravito, situé au sommet d'une côte, je suis obligé de marcher une première fois.
Quelques morceaux de mandarine, un gobelet d'eau, et c 'est reparti.
Peu avant le deuxième ravito l'histoire se répète. Cette fois il y a du chocolat, ce qui suffit à me motiver pour les derniers kilomètres, mais peu après le neuvième nouvelle côte très pentue, re-marche pendant une centaine de mètre, puis je me lance dans l'utime descente avant la remontée vers le moulin. Je rattrape puis dépasse le petit vieux qui m'avait largué l'année dernière aux chicons et j'attaque la dernière côte, je croise mon vieux pote qui redescend (costaud le gars, il fait le marathon en 3h30), un dernier coup de reins et je passe la ligne après un tout petit peu moins d'une heure de course ( 59'49), ce qui était mon objectif, donc satisfaction.
Direction la tuture pour me changer, retour sur la ligne d'arrivée où Valérie en termine, puis nous gagnons la salle des fêtes pour récupérer nos lots, une stella bien fraîche et une assiette garnie de jambon de pâté, de pommes à l'eau et de cornichons. Ils ont le sens de l'hospitalité dans ce patelin, on reviendra!
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blek · 11/11/11/12/22/47

Viens chez nous! Le we prochain y'a le marathon du Beaujolais ici.... Et il y a un semi bien sûr!

decoturf · 11/11/11/15/22/19

Attention... il risque de te prendre au mot. Tu vas le voir débarquer avec son short et ses baskets... Geek

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Arkadin · 11/11/11/17/56/03

L'offre est tentante, surtout si tu offres le gîte Wink

Mais dans deux semaines j'ai un 6h Geek

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blek · 12/11/11/18/56/01

Ca aurait presque pu être jouable, on a du monde le we prochain, sinon... Enfin ils sont là à partir du samedi, sans doute après midi, et le marathon démarre le samedi matin... Presque faisable!!

Arkadin · 13/11/11/01/24/27

Je prends rendez-vous pour l'année prochaine, veille à virer ta famille d'ici là Geek

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Arkadin · 13/11/11/01/26/57

Sinon, trève de plaisanterie, hier j'ai été tout près d'enfin battre mon record sur semi marathon à Ploegsteert en Belgique:
1h37mn 47s (plus que 9 secondes à grignotter!)
Ca s'arrose! Cheers

Bon en fait ça a déjà été arrosé, et bien... et même avant le départ de la course biturage

Vive la police belge!! sante

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Arkadin · 21/11/11/15/12/13

Hier, pour la 2è année consécutive, j'ai participé aux foulées Hellemmoises, à Hellemmes, donc, tout près de chez moi.
Un temps splendide, très frais ( 2 petits degrés à mon arrivée devant la salle des acacias) mais un soleil resplendissant, bref, le temps idéal pour courir.
L'ennui c 'est que je manque un peu de pratique sur les distances courtes. Qu'importe, au coup de feu je pars pied au plancher et même si je m'asphyxie un peu je couvre tout de même le premier tour en 21 minutes 45.
C 'est au 2è tour que ça se gâte, il faut dire aussi que je n'ai pas trop envie de me flinguer à une semaine de mon 2è six heures, aussi je me résigne à terminer en 44minutes et 45 secondes, une performance certes honorable, mais un tant soit peu décevante, surtout sur un parcours aussi plat.
Mais le véritable intérêt de la course se trouve ailleurs: après la cérémonie protocolaire, présidée par Monsieur le Maire en personne, le verre de l'amitié nous est offert Wink

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Arkadin · 28/11/11/14/57/59

Hier: les 6 heures de Marchiennes, une ville que je commence à bien connaître puisque j'ai déjà participé par deux fois au semi marathon organisé un peu plus tôt dans l'année.
Le départ était donné à 10h, donc tout le temps de me lever tranquillement et de gagner ensuite la salle de musique pour y retirer mon dossard.
Je fais quelques photos de la place, très jolie,mais qui tombe malheureusement un peu en ruine, lorsque je me fais héler par Chti Grincheux qui a déjà investi le bar du coin en bonne compagnie.
Un petit café plus tard il est temps d'aller installer notre ravito personnel puis d'aller se mettre en tenue.
Il fait un peu frais ce matin, aussi je décide de garder mon écharpe pour commencer (j'ai la gorge fragile, et j'ai été victime d'une extinction de voix il y a un mois).
On se presse sur la ligne de départ: outre les coureurs, il y a aussi des marcheurs et des randonneurs, en tout pas loin de 200 participants, plus deux zigotos, l'un habillé en nounours et l'autre en lapine. Il va sans dire qu'ils ont du succès, chacun voulant être pris en photo avec ces peluches ambulantes. Ils ne sont cependant là que pour mettre de l'ambiance sur la ligne de départ et ne participeront pas à la course.
Le système de pointage des tours est assez particulier ici: c 'est une équipe de pointeurs et de pointeuses qui officie, chacun et chacune étant responsable d'un groupe de coureurs, aussi nous faut-il faire connaissance avant de nous élancer afin de bien être identifié à chaque passage. J'ai de la chance, ma pointeuse est très jolie Wink

Je pars plutôt doucement en compagnie de Chti Grincheux, guère au meilleur de sa forme puisqu'il a des invités chez lui depuis vendredi et que l'hospitalité chez lui n 'est pas un vain mot. En clair chez lui on ne risque jamais de mourir de faim, et surtout de soif! Wink

Nous courons ainsi de conserve pendant une bonne heure, puis je prends le large.
Le parcours est relativement uniforme, sauf un faux plat qui devient au fil des tours une côte, puis un véritable col!
Au bout de 3 heures je décide d'aller voir le kiné, puisque mon genou se réveille. Un massage et quelques étirements plus tard je suis (presque) comme neuf et je repars de plus belle.
C 'est à ce moment que se met à tomber un petit crachin qui rafraichit encore la température, et qui surtout détrempe les dossards qui ne tardent pas à se décrocher. Heureusement à ce moment nos pointeurs nous connaissent aussi cela ne prête pas à conséquence.
De mon côté j'ai de plus en plus mal aux jambes, et à partir des quatre heures de course je marche dans le faux plat, et plus le temps passe plus je marche tôt avant d'attaquer cette difficulté.
A 4h07 de course mon chrono se bloque, j'ai dû faire une fausse manip', mais je mets une demi heure avant de m'en rendre compte, je crois ainsi longtemps être en passe de battre mon record.
Il n'en est évidemment rien, je mets de plus en plus de temps à boucler mes tours, et comme sur cette course on ne compte que les tours terminés je m'arrête après 5h52 de course (à ce moment là je mettais plus de 15 minutes par tour) et un peu plus de 50 km parcourus, et me sers une Leffe avant d'aller regarder les dernières arrivées.
Emotion sur la course: le record de l'épreuve est sur le point d'être battu par son propre détenteur. Il se bat contre le chrono pour terminer son dernier tour, dépasse même un triathlète membre d'une équipe de relais, mais échoue à 100 mètres de la ligne. Qu'importe, l'organisateur décide tout de même de mesurer la distance parcourue sur le dernier tour, mais il s'avéra que ses calculs avaient été quelque peu faussés, il aurait fallu 1 tour de plus pour que le record tombe.
Ceci dit, avec 83 kilomètres parcourus en 6h le gaillard signe tout de même une performance impressionnante!
Un petit détour par les douches du complexe sportif et nous gagnons la salle polyvalente pour la remise des prix.
Chacun a droit à un petit quelque chose: les vainqueurs de chaque catégorie reçoivent une coupe, mais on pense aussi aux anonyme qui se partagent les lots offerts par les sponsors lors d'une tombola. Je repars ainsi avec un joli globe terrestre/lampe de chevet.
Bilan globalement positif pour cette journée, donc , même si je mesure encore le chemin à parcourir avant de pouvoir m'aligner sur un 100km, ma plus grande inquiétude concernant mon genou qui se réveille toujours après 3h d'effort. Le kiné m'a conseillé d'aller faire un test de posture, puisque le problème ne venant ni d'une blessure ni d'une malformation quelconque autour du genou la douleur doit être causée par des contraintes soit supérieures ( la hanche) soit inférieures ( le pied). je n'ai pas fini de fréquenter les cabinets médicaux ...
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blek · 28/11/11/19/32/02

Une bien belle course tout de même! Courir près de 6h00 et plus de 50km.... Alors sinon une piste pour ton genou, je suis allé voir l'ostéo samedi pour le mien, et en fait il m'a "trouvé" la cheville très raide, et du coup ça pourrait jouer sur le genou. Si tu connais un bon ostéopathe, je te le conseille... Après trop tôt pour dire si moi ça va tout soulager, je dois passer une IRM début janvier... Mais en tout cas comme t'as l'air de rien avoir au genou, c'est que ça vient probablement d'ailleurs et que tu "compenses" avec ton genou.... Piste à suivre!