Le tennis, Federer, Nadal, Sampras, Agassi et les autres...

Arkadin · 16/11/09/18/35/22

Courts croisés de playtex Lol

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"Ne remets pas à demain ce que tu peux faire après-demain." Alphonse Allais http://arkadin-arkablog.blogspot.com/

decoturf · 17/11/09/03/57/14

Une bonne interview de Simon

.

«

, vous avez vécu deux saisons en une. Votre blessure semble avoir finalement libéré votre jeu.

- C'est vrai. J'ai connu beaucoup de nouvelles situations. J'ai joué systématiquement contre des adversaires moins bien classés que moi. Cela n'a pas été facile. Au début de la saison, même si je ne jouais pas incroyablement bien, je finissais toujours par m'en sortir à l'arraché. Quand j'ai commencé à perdre, une fois, deux fois, trois fois, surtout sur terre battue, j'ai connu un passage très difficile. Je n'arrivais pas vraiment à relativiser les défaites. Perdre en «contre» me faisait bizarre. Avec ma douleur au genou, je suis entré sur le terrain avec une autre approche. Cela m'a vraiment libéré dans le jeu et dans la tête. Bien sûr, cela m'a handicapé dans le jeu (sourires). Mais dans la tête, je suis entré sur le court avec beaucoup moins d'attentes, par exemple à Wimbledon. Cela m'a aidé à «m'autoriser» la défaite. Quand ça allait, j'étais content de pouvoir jouer à fond et j'ai donc beaucoup mieux joué. J'ai gagné des matches 6-3, 6-2 alors que je n'avais jamais réussi à gagner des matches en posant mon jeu et en jouant mieux que mon adversaire.

Existe-il un match déclic ?

- Quand je gagne (6-1, 6-2) contre Dancevic à Montréal, j'ai joué de manière incroyable. Il dit à la fin qu'il n'a jamais joué contre un mec aussi fort. C'est quelque chose que je n'avais jamais réussi à faire ressentir à des joueurs moins bien classés. C'est pour ça qu'il y a eu une petite polémique. Les joueurs avaient peut-être l'impression qu'ils pouvaient me battre et c'était étrange que je sois si loin devant au classement. C'était lié au fait que je gagnais rarement sur un score aussi sévère. Je ne perdais pas, mais j'ai eu beaucoup, beaucoup de matches gagnés au troisième set. Par exemple, j'avais cette impression contre un joueur comme Tommy Robredo qui était pourtant 8e. A chaque match, j'avais ma chance et pourtant, je suis mené 4-1 dans nos confrontations. Cela me parlait plus. C'est quelque chose que j'ai réussi à améliorer cette année, surtout en fin de saison.

En même temps, c'est aussi une saison où vous enregistrez vos meilleurs résultats en Grand Chelem.

- C'est pour ça que ma saison a été très intéressante. J'aurais pu finir dans les dix parce que j'ai perdu beaucoup de matches que je peux gagner. Sans parler des matches en «perf». J'avais la place pour faire mieux dans des tournois comme Monte-Carlo, Rome ou Madrid par exemple. Pour autant, sur le sentiment général de ma saison, cela n'aurait rien changé. Il m'a manqué de rejouer les meilleurs. Le seul match où je me suis vraiment fait très plaisir, c'est contre Djokovic à Shanghaï parce que je sentais que je rejouais bien et il jouait très bien. Il y a aussi ma victoire contre Davydenko (6-7, 6-4, 6-4 à Cincinnati) et mon quart contre Nadal (défaite 6-2, 7-5, 7-5 à l'Open d'Australie).

Est-ce que vous n'êtes pas allé trop vite dans votre changement de jeu en début d'année en essayant d'aller au filet et d'être plus agressif ?

- Oui, mais ce n'est pas la raison. Il faut que je fasse évoluer mon jeu. Si je fais vingt montées gagnantes contre Ljubicic, c'est aussi parce qu'il faut que cela se mette en place. En fin d'année, c'était simplement mieux exécuté. Je ne regrette pas de faire évoluer mon jeu, je vais continuer. Je vais changer sur l'approche des matches.

Simon

, le changement de statut avec le passage du «joueur qui n'a rien à perdre» à «l'homme à battre» a-t-il été compliqué ?

- Ce n'est pas tellement le statut, mais ce qu'il implique. C'est le fait de jouer tout le temps en «contre». A chaque tournoi, il faut jouer trois ou quatre tours pour aller chercher les mecs devant. C'est vachement dur. J'ai fait toute une partie de saison dans les huit premiers, cela signifie une qualification systématique en quart de finale pour affronter les meilleurs. C'est loin et c'est difficile contre des joueurs dans les quarante premiers puis un joueur juste derrière au classement. L'an dernier, je jouais tout le temps des Federer ou Nadal. Cette année, j'ai joué trois fois contre «Djoko». Je ne fais pas de mauvais matches contre lui. Si je ne bats pas ce genre de joueur, c'est aussi parce que je les joue moins. Par exemple, une demi-finale à Marseille, on m'aurait dit super l'an dernier. Cette année, on me dit que je n'ai battu que des mecs moins forts et que j'ai perdu contre Llodra. A force d'avoir l'impression de ne pas faire un truc vraiment bien, c'est-à-dire gagner, c'était difficile.

Vous n'arriviez pas à vous raisonner en vous disant que vous ne jouiez pas en contre ?

- C'est ce que je n'ai pas réussi à faire une partie de la saison. Je sentais dans les médias ou dans mon entourage qu'il était normal de gagner contre un bon joueur qui n'était pas devant moi au classement. Cela m'a crispé.

Est-ce le regard des autres qui a fini par vous «polluer» la tête ?

- Un petit peu. Je pense que ce sentiment a été accentué par le fait que j'avais des bons tableaux, notamment sur terre. Je n'en ai pas profité. Cela n'a fait qu'accélérer le processus.

A un moment, vous étiez aussi très négatif vis-à-vis de vous-même, notamment à Madrid.

- C'est un passage où j'avais des bons tableaux et où je n'en profitais pas. Je n'étais pas encore assez convaincu de mon niveau de jeu quand je jouais bien. Je me disais que je laissais passer des bons tableaux qui me maintiendraient au classement. J'ai commencé à douter de ma saison précédente et de mes forces. Avec mes blessures, j'ai recommencé à jouer plus libéré et j'ai réussi à écraser des mecs sur le terrain. Ce n'est pas un hasard si je prends trois sets contre Hanescu à Roland-Garros et que je lui colle trois sets à Wimbledon même s'il y a le changement de surface. Dans la manière de jouer, cela n'avait rien à voir. A Roland, je ne peux rien faire, je n'ose pas, je suis un peu timide, il joue bien et prend largement le dessus. Le match suivant, il ne touche pas une balle. Je me suis dit : quand tu joues bien, ton adversaire ne rigole pas et n'oublie pas ça.

Quel est votre programme avec votre blessure ?

- Je vais essayer de reprendre à l'Australian Open. Je n'irai que si je peux jouer à fond. Je ne veux pas commencer une saison à moitié. Cela va être juste pour l'Australian. Je vais faire des examens et dès que la lésion aura disparu, j'essaierai de reprendre. Mais je vais faire attention à ne pas reprendre trop vite car on peut avoir envie de forcer trop vite et se faire mal. Je voulais finir la saison. Si je peux jouer à Melbourne, ce sera mieux d'être parmi les seize premières têtes de série. Le classement est dur à aller chercher et il faut le soigner un peu (sourires).»

Arkadin · 17/11/09/09/39/52

Mouarf!
En fait il dit qu'il joue moins bien dans les premiers tours parce qu'il ne rencontre plus les premiers mondiaux, il ne joue bien que contre des types qui jouent bien! Lol

C 'est dur de jouer contre des nuls hein? tu vois ce que ça fait de jouer contre toi? pue la blatte

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Dame Acro · 17/11/09/14/18/52

Parfois, on dirait qu'il vient de débarquer sur le circuit. Il découvre les points, il découvre ce que c'est de jouer contre un tel ou un tel...Je crois surtout que la petite bébête réfléchit et analyse un peu trop et ça lui grignote le cervelet...(ça a un cervelet, une blatte ? Geek

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"De mon temps, on ne râpait que les carottes, mais aujourd'hui ils rappent la musique. Dans tous les cas, ça fout des saloperies partout"- Le papy du bar d'en face.
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decoturf · 13/12/09/16/56/12

Aujourd'hui... la blatte essaie pour vous les nouvelles balles qui vont être utilisées pour le tournoi de Roland Garros 2010.

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ProfGast · 13/12/09/20/26/43

http://www.arte.tv/fr/kunst-musik/kultur-digital/noued/973988.html

nizon · 14/12/09/00/05/05

l'autre jour j'ai appris que "suga blatte" en hongrois veut dire "fils de pute". c'est fou....
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Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît.

Dame Acro · 17/12/09/16/17/47

Fred · 16/01/10/11/57/43

"Il" est forfait pour l'oz...
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"Il vaut mieux savoir tout chercher que chercher à tout savoir" (P. Mendelson)

Arkadin · 16/01/10/15/27/50

Tant mieux Lol

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decoturf · 18/01/10/16/27/35

Voila un tournoi qui commence bien Mr.red

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Arkadin · 17/02/10/19/24/41

Un nouveau venu dans le camp des exterminateurs de blattes: le Belge Rochus a éjecté notre insecte rampant au premier tour du tournoi de Marseille!

Dame Acro · 17/02/10/20/11/27

Si même Rochus se met à déblattiser les tournois, on est tranquille !
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Arkadin · 22/02/10/01/38/39

Go Marcos Go!!!

headbang

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nizon · 22/02/10/18/39/16

victoire de baghdatis!!!
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Arkadin · 22/02/10/18/43/30

La déblattisation est en marche et rien ne pourra l'arrêter! :victory: :victory: :victory: :victory: :victory: :victory:
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Dame Acro · 23/02/10/18/49/39

Ca devient de plus en plus facile c't'histoire... Mr.red

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Arkadin · 13/03/10/13/47/55

La blatte a déjà perdu en double:

D Ferrer (ESP) / A Montanes (ESP) d G Monfils (FRA) / G Simon (FRA) 64 62

Reste plus qu'à perdre en simple! :victory:
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ProfGast · 13/03/10/23/46/40

C'est chose faite.

Arkadin · 14/03/10/11/40/08

Les paris sont ouverts sur la place qu'occupera la blatte au classement mondial de fin de saison, m'est avis qu'il va faire une bonne dégringolade Lol

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